Perdue Avec la foule a votre gare Saint Lazare du heure pour pointe, bousculee de l’ensemble de parts du coup que je tente coute que coute de monter au sein de notre train, Ce desespoir me gagne. Etant un individu petrie doptimisme, faite de finesse et de temperance, j’ nen ai Pas jamais de doute bien espoir du lhumanite est vain. De quelle pourrait-il en etre autrement si nous sommes prets a ecrire mamie dans le panneau daffichage dun https://datingmentor.org/fr/sites-de-rencontre-pour-animaux-de-compagnie/ habile coup depaule Afin de avoir une place assise ?
Fataliste, J’me faxe avec ses de la femme qui mache d’un chewing-gum Notre bouche ouverte et mon homme qui souhaite signifier du monde que sa propre virilite est trop imposante pour quil reussisse pour serrer des jambes. Jai besoin pour lui parler d’un man spreading et d’un malaise que minspire Neanmoins, j’ nose pas. Jai l’envie de reclamer a ma coloc’ pour controler l’ensemble de ses maxillaires mais j’ nen ai nullement Mon courage. Au lieu de ca, je branche faire mes ecouteurs et J’me perds au sein de la musique et mes pensees.
Vos transports en commun reveillent en moi plethore pour sentiments. J’ des emprunte tous les soirs et Cependant, cest de la source demotion sans cesse renouvelee.
Parfois, je memerveille Plusieurs chemins , lequel se croisent, Plusieurs rencontres fortuites, d’une multitude dindividus quils me peuvent permettre de croiser. Chacun transporte avec Grace a lui sa bulle, le petit monde, dont on peut quelquefois entrevoir des fragments. Le tatouage qui parle de deceptions amoureuses. Quelques larmes cachees derriere de enormes lunettes de vue. Ma plaisir et linsouciance dun groupe dadolescents.
A Notre compagne de week-end Dont les yeux, charmant paysage Font paraitre court Ce chemin
Georges Brassens Tous Les passantes
Jai un coup suivi pendant pres dune heure Notre conversation dun couple qui mettaient leur relation a plat. trouvait quil passait tr de temps avec Grace a les , quils essayaient pour le monter contre cette et quil ne faisait que dalle Afin de la defendre. Il trouvait quelle ne faisait jamais assez defforts Afin de sintegrer, ne comprenait Manque quelle veuille partager avec Grace a lui quelques moments de qualite et que Votre regarder jouer pour la console nen constituait Manque 1.
1 autre fois, une dame dun age deja vraiment mur a partage avec Grace a votre serviteur lhistoire pour une vie. Le temps dun trajet, ma parle de sa carriere, daventures colorees, pour lieux explorees, d’individus regrettees, dhabitudes qui embellissaient le quotidien.
Voili, les transports nous font traverser quelques univers. Ils nous offrent parfois Notre spectacle dun coucher de soleil via ma Seine, dun couple qui saime, dun orage sur Un lointain. Ils paraissent le web pour fond maints romans lus, de chansons fredonnees, de journaux parcourus. J’me souviens Posseder ri a toutes les larmes du lisant Ce soir Americain dElizabeth Gilbert et avoir rougi jusquaux oreilles du decouvrant que diverses scenes de Lamant de Lady Chatterley etaient Pas explicites que je ne laurais millesime. J’me rappelle Posseder ecoute Aaron de boucle tous les matins au cours de de la annee deprimante du classe preparatoire litteraire, puis plus recemment d’la musique bresilienne ou quelques mantras.
Beauty is in the eye of the beholder
Ces chants apaisants paraissent des petites cordes auxquelles J’me raccroche pour me rappeler que tout est provisoire et que sa beaute se cache en yeux pour celui qui votre decouvre. Plusieurs memos consequents, car pour arriver ou j’suis, serree dans notre siege avec ses faire mes charmants coloc’, Un parcours fut concernant le plus effrayant.
Jai avale Plusieurs kilometres pour couloirs, des fois plus pres d’un centre d’la Terre que d’une surface (utilisateur/trice d’la ligne 14, tmtc). La, jy ai affronte sa grosse Puanteur, monstre personnifie , lequel hante le metro parisien. A force pour repetition, jarrive pour bien identifier Avec notre parcours des endroits ou on doit se boucher Un nez, mais j’ ne parle jamais a labri dune sale surprise , lequel commence avec de la odeur nauseabonde et se termine invariablement avec Le haut Un c?ur. Jai evite vos pieges des panneaux , lequel indiquent de sortie cela dit, sans preciser le nombre pour detours a Realiser pour y arriver, qui incluent Le virage de epingle a cheveux, le passage via Votre quai dun nouvelle metro, votre montee pour 5 etages, enfin ils J’ai descente pour six, enfin ils la remontee pour douze.
Nous laurez compris, ces couloirs maudits mangoissent. Ils me font revivre des peurs denfant. En grandissant javais votre cauchemar recurrent ou J’me reveillais Avec la chambre Neanmoins, , lequel navait plus de a, plus dissue. Alors me retrouver enfermee, du avec sol, a tourner de rond a votre desesperee dune sortie, cela me renvoie les echos dune peur , lequel ne ma pas vraiment quittee.
Votre peur Le nouvelle des sentiments qui bouillonne quelque part en mon emmenagement au cours de ces trajets.
Notre peur en regard insistant dun homme. Votre peur de netre quune au sein d’ la multitude. La peur de me ranger dans le rang d’un metro boulot dodo. Votre bruit quelques nullement qui resonnent dans les couloirs reveille en mon emmenagement un tel sentiment dangoisse que cela me file des fous rires.
Depuis mon siege, je vois Notre train se mettre en route. Depart pour lheure, le soulagement je devrais Posseder mon bus. Je lance de version musicale dun pour mes mantras favoris et J’me laisse aller. Lokah Samastah Sukhino Bhavantu. Quelques mots , lequel incitent au plaisir, pour lunite, a Notre compassion. Jinspire et jexpire, lesprit apaise. , vu lodeur, je ne suis nullement la seule a maccorder mon moment de calme et doubli quelquun a allume 1 joint. Le couple se retourne aussitot, lair du colere, a votre recherche de ce responsable.
Ils marmonnent avec ses eux et finissent par remplacer pour wagon. Jen profite concernant prendre leur place et me detendre encore legerement plus. Lespace est un agrement et j’ men delecte jusquau prochain arret, jusquau prochain trajet.